Comment lire est (re) devenu cool ?
Arcs-en-ciel sur petit écran : une histoire de la représentation des LGBTQ+
Rompre le silence : une histoire de podcast
Nos pratiques culturelles relèvent-elles de la consommation ?
La Joconde: renouvellement de l’expérience muséale contemporaine
Qui n’éprouve pas de la fascination pour le chef-d’œuvre de Léonard de Vinci ? Cinq siècles après sa création, le célèbre tableau de 77 cm de haut sur 53 cm de large est à l’acmé de son succès. À la belle saison, plus de 30 000 visiteurs piétinent chaque jour pour se retrouver face à Mona Lisa – la plupart munis d’un appareil photo ou d’un téléphone portable. Parmi eux, de nombreux touristes européens et internationaux perpétuent le succès de ce tableau devenu iconique.
Le street art, colporteur de messages
Vous connaissez évidemment Banksy et son lanceur de fleurs ou encore M.Chat et ses innombrables dessins de chat jaune souriant. Mais connaissez-vous le but ultime de ces œuvres urbaines ? Le street art se veut accessible aux yeux de tous et utilise cette visibilité pour véhiculer bien plus que du divertissement. En se jouant de l’espace public, le street art choisit de décrocher les yeux des passants, rivés sur leur téléphone, dans le but de leur ouvrir l’esprit sur certaines problématiques sociétales.
Depuis son invention, le street art s’engage et milite pour dénoncer les méfaits de notre société et leurs conséquences sur notre quotidien. Tout comme de nombreuses ONG, l’art urbain tente de sensibiliser les citoyens du monde ; ici, les artistes brusquent les promeneurs avec une simple image.
Le street art a-t-il donc le pouvoir d’être un moyen alternatif qui donne accès aux informations sérieuses telles que des problèmes politiques, économiques, environnementaux, etc. ?
Aya Nakamura : linguistique et pop culture
Son dernier clip, La dot, s’est classé numéro 2 des tendances Youtube en moins de 24h, son titre de référence, Djadja, totalise à présent plus de 260 millions de vues sur Youtube et que cela vous plaise ou non, Aya Nakamura est un des phénomènes culturels de 2018.
Les paradoxes de la petite fille sans peur
Un mètre et trente centimètres
Fearless Girl. C’est le nom de la sculpture en bronze représentant une jeune fille rebelle réalisée par Kristen Visbal. Du haut de son mètre trente, elle est installée dans le fameux quartier des affaires de Manhattan depuis le 7 mars 2017, veille de la Journée internationale des droits des femmes. Depuis ce jour, elle ne cesse de faire parler d’elle. Des centaines d’articles ont été écrits à son propos, les caméras du monde entier étaient au rendez-vous le jour de son installation. Elle fait même partie des incontournables du circuit touristique de New York ! Mais comment expliquer un tel succès alors que cette petite femme en bronze d’un mètre trente aurait très bien pu passer inaperçue dans la jungle de Wall Street ?
Merci pour tout, Stan
« Excelsior ! »
Personne n’ignore qu’un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, pourtant peu de gens sauraient attribuer cette phrase à une autre voix que celle de l’Oncle Ben dans le film Spider-Man (2002). Bien que l’origine de cette phrase soit trouble, il ne fait aucun doute que c’est Stanley Lieber, dit Stan Lee, qui l’a fait passer dans la culture populaire au travers du premier « Comic-book » Spider-Man, publié en 1962.