Noël revient chaque année, ce n’est pas nouveau ! Il semblerait que les cadeaux ne le soient pas non plus : à l’approche des fêtes, de plus en plus de personnes sont séduites par la seconde main. S’agit-il d’une tendance réellement opposée au modèle de la surconsommation ?
Le 27 octobre dernier se tenait au Pachamama, près de la place de la Bastille, la plus grande soirée TikTok de France nommée ForYouNight3, placée sous le thème d’Halloween. À rassemblement exceptionnel, enjeux communicationnels multiples.
Il est partout, il fait sensation, nous l’adorons. Le tote bag est un objet incontournable de notre génération. Étymologiquement, l’anglais to tote signifie « trimbaler ». Mais lorsqu’on arbore fièrement son tote bag sur son épaule, quel portrait de consommateur trimbale-t-on réellement ?
Il est partout, ce symbole rectangulaire de l’enveloppe blanche, gardienne d’un message personnel, qui ne demande qu’à être lu. Avant de devenir e-mail, l’objet était une lettre. Et c’est bien devant cette modeste feuille de papier pliée – en deux, en trois, en quatre – que FastNCurious s’émerveille aujourd’hui. À l’heure des relations digitalisées, que signifie encore la décision de rédiger, affranchir puis poster une lettre ?
6 secondes. C’est le temps de lecture moyen d’un recruteur à l’égard d’un CV selon une étude menée par le cabinet de recrutement The Ladders. Véritable instrument communicationnel de persuasion, le Curriculum Vitae doit dresser un portrait cohérent du « parcours de vie » de son auteur sans pour autant tomber dans l’écueil d’une présentation prosaïque. Il est la première et parfois la seule impression qu’un recruteur aura d’une personne. C’est pour cela qu’il impressionne et fait même peur.
On ne vous apprend rien: la crise sanitaire est venue bousculer nos habitudes d’interactions sociales. Distanciel, positionnement des corps dans l’espace, nouveaux rituels de socialisation… à la lumière des interactionnistes et autres penseurs en sciences de la communication, FastNCurious vous propose un tour d’horizon d’une sémiotique corporelle 2.0.
Quels enjeux pour cette jeune application de l’entreprise chinoise ByteDance ? En 2018, Le Monde nous parlait de la nouvelle « application pour les adolescents fans de play-back », alors que BFM TV décrivait un « Instagram musical » mêlant « karaoké et selfie », qui arrivait étonnamment à se placer comme l’application la plus téléchargée de l’année. Pourtant, en juillet 2020, c’est Emmanuel Macron qui fait son apparition sur l’application, félicitant nos bacheliers pour leur réussite dans ce contexte si particulier. Deux ans après son arrivée sur nos plateformes de téléchargement, TikTok est devenu bien plus qu’un réseau social pour partager une courte vidéo musicale : il représente une véritable opportunité pour les marques, les artistes, et les politiques, de se rendre visible sur la toile.
Paris ville lumière, Paris ville de l’amour, de la culture, de la gastronomie et de la magnificence architecturale. Si la série Emily in Paris, sortie en octobre 2020 sur Netflix, semble à première vue une énième production américaine à l’eau de rose, elle est aussi représentative d’un imaginaire collectif de Paris et de ses habitants, entretenu à l’étranger. Des stéréotypes qui ont poussé la rédac’ de FastN à penser ce fossé culturel entre la France réelle et l’image qu’on s’en fait à l’étranger. En quoi la stéréotypisation est-elle efficace dans ce genre de production culturelle ? Et comment Emily In Paris contribue-t-elle, non pas à casser les codes, mais à abuser des clichés pour faire réagir ?
Si vous êtes un adepte d’Instagram, réseau social consacré principalement aux photos, ce phénomène n’a pas pu vous échapper. Depuis quelques semaines, impossible de se connecter sans voir apparaître en haut de son fil d’actualité les icônes de nos abonnements portant ces quatre lettres encadrées de rose : « LIVE ».