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Les Incels, une réelle idéologie de la misogynie, favorisée par internet

Les incels : qu’est-ce que c’est ?  In – cel : contraction de involuntary et de celibate, en français “célibataire involontaire”. Vous l’aurez compris, aujourd’hui, Fast N Curious s’attaque aux fameux incels, ces individus masculins qui, sur Internet, relâchent une vague de haine envers les femmes. Sous prétexte de ne pas réussir à avoir des relations affectives et/ou sexuelles avec celles-ci, les incels les critiquent, font la promotion de la violence envers elles, et tiennent des propos extrêmement misogynes. Actuellement, on en compte plusieurs dizaines voire centaines de milliers, même s’il est difficile d’estimer parce que cette communauté est majoritairement présente sur le web. Si FastNCurious a déjà exploré un sujet similaire sous l’angle du marketing d’une figure masculiniste, Andrew Tate (article ici), nous souhaitons avec cet article explorer le sujet sous un autre regard.  Ainsi, nous voulons montrer de quelle manière internet favorise cette idéologie de la misogynie
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Quand la misogynie devient un outil marketing

Les incel autrement dit célibataires involontaires revendiquent une absence de romantisme ou de sexualité qui ne dépendraient pas d’eux mais de facteurs génétiques et sociaux. Autour de ce mouvement, une communauté s’est formée sur internet pour exprimer leur haine et exacerber leurs émotions négatives. «Sur les forums, les échanges, anonymes, peuvent rapidement prendre de l’ampleur. […] Les incitations à la violence fusent et, éventuellement, certains passent à l’acte», nous dit Caroline Deli, doctorante à l’Université de Montréal.
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Quand les adolescents starifiés lèvent le tabou sur la santé mentale

En 2022, il n’est plus surprenant de voir des adolescents se lancer dans la quête insatiable de la célébrité, promue par Youtube, Instagram ou plus récemment Tiktok. Mais comment expliquer l’accélération de ce phénomène de starification chez les plus jeunes ?  Récit d’une génération déchantée, qui ose (enfin) mettre des mots sur un mal-être… inévitablement marchandisé.
© Bilal Berkat
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Arcs-en-ciel sur petit écran : une histoire de la représentation des LGBTQ+

En juillet 2020, Netflix décide d’annuler sa production If Only qui devait se réaliser  en Turquie et s’articuler autour d’un personnage central homosexuel. Le Haut Conseil audiovisuel turc avait sommé la firme américaine de censurer la figure gay de la série, ce que Netflix a fermement refusé. Face à une telle résistance, le géant de l’audiovisuel a donc préféré étouffer son projet dans l’œuf. Cet acte fort remet en  perspective la question de la représentation des personnes LGBTQ+ dans les séries. On vous prépare donc un zapping des séries emblématiques qui ont mis en  lumière le spectre LGBTQ+. Installez-vous confortablement dans votre canapé, télécommande en main, et préparez-vous à binge-reader cet article. 
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#Metoo, #balancetonbar, à l’ère du féminisme des hashtags et des réseaux sociaux

En 2017, un hashtag prend de l’ampleur aux Etats-Unis, puis dans le monde entier, pour symboliser finalement le début d’une ère : #Metoo. Lancé suite aux scandales de harcèlements et d’agressions sexuelles par le producteur de cinéma américain Harvey Weinstein, il a ouvert, depuis sa création, la porte aux témoignages et lancements d’alerte au sein de la communauté féministe. Leur point commun ? Le moyen de diffusion, et surtout la forme. Les réseaux sociaux, et tout particulièrement la plateforme Twitter, sont devenus les vecteurs privilégiés d’une nouvelle parole, matérialisée par l’usage du #. Entre 2017 et 2018, #MeToo et #BalancetonPorc comptabilisent ainsi à eux seuls respectivement 17,2 millions et 930 000 tweets. Des chiffres vertigineux qui visibilisent une réalité jusqu’alors tue, et donnent, enfin, la parole aux victimes de violences sexuelles et sexistes.
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Scepticisme scientifique : vers un monde de post-vérité ?

On dit souvent « ce n’est pas la fin du monde » … mais qu’en est-il réellement ? La dernière comédie apocalyptique « Don’t look up : déni cosmique », disponible sur Netflix, tente d’y voir plus clair tout en alertant sur les dérives de notre société. Parmi elles, la réception des vérités scientifiques auprès de l’opinion publique. Analyse de ce phénomène, sous le prisme de la pensée d’Etienne Klein et son essai « Le goût du vrai ».
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